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Au milieu de l’espace public, un homme nous raconte les luttes qui ont fait l’histoire de la culture homosexuelle du 20e s. et participent à la culture queer d’aujourd’hui. Il traverse le temps pour redonner vie aux pionnier·ère.s des soulèvements sociaux qui ont construit le mouvement. A travers une marche, qui s’apparente à celle des fiertés, il convie le public à un spectacle à mi-chemin entre une quête collective, un documentaire et une manifestation. Parcourir ces luttes c’est une manière de se les réapproprier, de savoir d’où elles viennent afin de mieux comprendre où nous sommes. Et puisque les luttes naissent principalement dans la rue, c’est ici que le spectacle doit se jouer.
Le spectacle prend la forme d’une déambulation, sur un parcours de +/- 200m. Les stations sont suffisamment longues pour que vous puissiez vous asseoir par terre, sur un coussin ou un tabouret pliant que vous aurez apporté.
Production déléguée : « J’aime beaucoup ce que vous faites ! ». Création collective dirigée par B. Lagenèbre. Écriture : B. Lagenèbre, S. Daugas Marzouk et M. Serluppus. Mise en scène : S. Daugas Marzouk. Assistée de M. Serluppus. Jeu : B. Lagenèbre. Régie générale : C. Bertin. Scénographie : C. Bertin et M. Bernardin. Création musicale : M. Prépus et N. Couderc. Costumes : M. Serluppus. Production-diffusion : E. Hélias. Création soutenue par : Préfet de la région AURA, la Région AURA. Coproducteurs et partenaires : Quelques p’Arts CNAREP – Bonlieu‑lès-Annonay (07), Superstrat – Atelier de Fabrique artistique – Saint-Bonnet-le-Château (42), Pronomade(s) en Haute‑Garonne CNAREP – Encausse-les-Thermes (31), Le Boulon CNAREP – Vieux-Condé (59), Les Ateliers Frappaz CNAREP – Villeurbanne (69), Le Moulin Fondu CNAREP Île-de-France – Garges-lès-Gonesse (95), Théâtre de Givors – Festival Les Hommes Forts – Givors (69), Rudeboy Crew – Le Bleymard (48), La Vache qui rue – Moirans-en-Montagne (39), La Laverie – Saint‑Étienne (42), La Gare en Coulisses – Eurre (26), Atelier 231 CNAREP – Sotteville-lès-Rouen (76).

Il y a le bus et l’abribus, la météo (toujours la même), les cours, la prof principale et ses questions sur l’avenir... Et puis un jour, il y a une fête. Et là, d’un coup, entre la nuit, l’énergie, les rires, les musiques, le boom-boom et les danses, là, enfin : il se passe quelque chose.
La Cie TEC s’est fait une spécialité de la relecture des mythes et contes en les transposant à notre époque. Cette pièce revisite celui de Katell Kollet, Catherine la Perdue ou la Damnée en breton, une jeune fille dont le mythe nous raconte qu’elle n’aimait que la danse et les plaisirs.

Rapprochons-nous est une forme courte pour 3 opérateurs et 20 radios. Le dispositif est épuré́ et élaboré. Les gestes sont rares et exigeants. L’espace est subjectif et partagé . Le temps est compté et s’étire tendrement. Partons de nous, de notre perception du monde et de nos besoins vitaux. Constatons et agissons. Rapprochons-nous est un rendez-vous, une invitation à se donner du temps, à se croire unique. Unique et sans prétention. Unique et commun. Unique et dérisoire. Personne n’est irremplaçable donc tout le monde est essentiel.
Jauge strictement limitée à 200 personnes pour garantir la qualité du spectacle.
Production : La Mondiale générale. Coproduction : Théâtre d’Arles – scène conventionnée d’intérêt national - art et création - nouvelles écritures / Théâtre Massalia - scène conventionnée d’intérêt national Art, Enfance et Jeunesse / Archaos – Pôle National Cirque Méditerranée. Soutiens : L’Usine Cayre – Compagnie Aléas / Mairie de Cenne Monestiés. Rapprochons-nous a reçu l’aide de la DGCA, et de la Ville d’Arles. La Mondiale générale est conventionnée par la DRAC PACA.

Sophie Withman adore la gloire, la romance et les histoires qui finissent mal. La réalité n’étant pas à la hauteur, elle s’est écrit sa propre tragédie et vient l’incarner soir après soir. Nous préférons vous prévenir : ceci est certes, un concert déjanté, mais c’est surtout un mélodrame qui finira dans un bain de sang.
Comédie absurde, burlesque et participative, ce spectacle est une farce contemporaine qui explore avec drôlerie le monde intérieur d’un être enfermé dans les schémas de l’amour absolu. Il nous propose de rire ensemble des grands récits de l’utopie romantique et de tous les délires chimériques qui peuvent lui être associés.

Une armada de vibrations et de multiplications. Jusqu’à du trop trop trop. Elles ont chacune une tête, deux bras et deux jambes et pourtant, elles ne semblent parfois n’avoir qu’un corps pour deux !
Elles jouent leur accord imparfait dans leur absurde réalité. Elles se laissent deviner à travers un langage et une gestuelle pleins de tics et de tocs. C’est dans le rapport à l’autre qu’on prend forme. L’embrouillamini mené à son paroxysme en devient cohérent. Le résultat ? Un gros bazar organisé .

Un homme raconte son adolescence, ses difficultés à accepter un père, instituteur apprécié et respecté de tous, qui s’exhibe en Auguste dans toutes les fêtes de fin d’année et autres fêtes de villages. Pourquoi cette obstination à se rendre ridicule avec ses « larges tatanes » et son « pif rouge » dans des numéros de piètre qualité ?
A la majorité du garçon, le cousin Gaston, fidèle ami de la famille juge le moment opportun pour l’éclairer quant à l’obstination de son père. Pendant la guerre, tous deux, Gaston et le père, étaient résistants et se sont retrouvés un jour, otages des nazis. C’est le gardien des prisonniers, esseulé dans le marasme de la guerre, qui va tenter de leur redonner un peu d’humanité.
Il est clown dans le civil…

Notre langage, le mouvement jonglé, se base sur le rapport du corps au jonglage et du jonglage au corps. Celui-ci a une histoire, une émotion, un parcours, une sensation, lié à notre complicité, notre relation en perpétuelle évolution. Nous recherchons, nous explorons, nous avançons dans ce périple où les corps parlent et se répondent. Chorégraphié, onirique, explosif et répété, le mouvement nous porte et nous engage physiquement jusqu’à l’épuisement… pour revenir à l’essentiel, au presque rien. Au-delà de l’expression corporelle, c’est une relation humaine portée et influencée par l’autre qui se joue dans l’espace. Un univers poétique, sensible et plein d’humanité.
Interprètes : Guillaume Cachera et Nicolas Paumier. Regards extérieurs : Cécile Rutten, Johan Swartvagher, Guillaume Martinet et Lotto. Création sonore : Francois Colleaux. Création lumières : Julien Genoux et Maxime Salaun. Régisseur Général : Maxime Salaun et Yoann Royer. Costumière : Elsa Pottier. Accessoiriste : Denis Duchemin. Partenaires institutionnels : DRAC Bretagne, Conseil Régional de Bretagne.

À l’ère où il devient nécessaire de trouver d’autres carburants, comment créer le contexte propice à la création d’une dynamique commune ? Restons prêt·e·s à traverser cette tempête qui pointe à l’horizon tout en dansant comme des singes sur de la musique folle !
L’occiput est le 1er os du crâne, il accueille le cerveau reptilien qui gère les mouvements volontaires et involontaires du corps et de l’esprit. OXYPUT Compagnie s’est créée en 2012, impulsée par l’initiative de Marine Cheravola, avec l’idée de diffuser le mouvement par le mouvement. Depuis sa création, Oxyput sévit sur les places publiques et joue à faire migrer la danse des intérieurs douillets vers les rues, s’adapte au monde mouvant, habite les halls de gare, les tunnels de métro et fait circuler l’air pour créer l’appel !
Idée originale : Marine Cheravola. Interprétation : Julia Berrocal, Marine Cheravola, Laurie-Anne Clément, Nelly Poiret, Jane Fournier Dumet, Oscar Rozsa Miller, Laureline Richard. Création musicale : Fanny Aquaron et Nelly Poiret. Costumes : Magalie Leportier. Regard extérieur : François Juliot. Diffusion : Léa Lhomme. Partenaires : Le Club des six – Réseaux des arts de la rue, Ville d’Avignon, CDCN Les Hivernales, Cie NA – La Friche artistique, Karwan, L’Entrepôt - Cie Mise en scène, Les 3 Zoiseaux, L’Abattoir - CNAREP, La Friche Mimi, Collectif La Méandre, Théâtre de l’Unité, Ma Région Sub, Cie Ex-Nihilo, Le Citron Jaune - CNAREP, La Gare de Coustellet, La Péniche, SUBsistances - Cie Les Baltringos.

BOUCAN est un cocktail explosif mêlant cirque, beatbox, voyages temporels et comédie qui nous permet de traiter de l’absurdité du quotidien - et de sa grande beauté. Très librement inspiré par une oeuvre classique, le tout est remanié à la sauce Cirk biZ’arT et accompagné par des bruitages live et une composition originale aux accents 90’s. Il y aura du café, des portés acrobatiques, du beatbox, du jonglage, des balles à facettes, de la musique, l’apéro et peut-être même un T-Rex...

Deux hommes liés par leurs trajectoires de vie se racontent dans deux récits indépendants : un Français, un Burkinabé. Deux histoires entrelacées pour interroger la coopération, la réciprocité et l’amitié. Dans ce premier récit, Thierry Combe nous invite à revivre son immersion de jeune professeur coopérant au Burkina Faso. Entre découvertes, déconvenues et rites initiatiques, il convoque ses souvenirs, comme autant d’échos à l’actualité dramatique du Pays des Hommes Intègres.
Au Forum, retrouvez l’Association Solidarité Mably-Pô qui contribue à la scolarisation et la santé des enfants défavorisés de la ville de Pô au Burkina Faso.
Ecriture, mise en scène, jeu : Thierry Combe, en collaboration avec Sylvain Levey (France) et Aristide Tarnagda (Burkina Faso). Collectage de matière intime : Thierry Combe & Helton Schadrack Tiendrebeogo. Scénographie : Jenny Calinon, Amandine Maillarbaux & Marc Nuninger. Musique originale : Damien Félix. Chorégraphie : Nathalie Pernette & Laure Wernly. Lumière : Caroline Nguyen. Regard extérieur : Chantal Ermenault. Régie générale : Marc Nuninger. Coproduction : Art’R, Saison et lieu de fabrique itinérant pour les arts de la rue à Paris et en Ile‑de‑France ; Culture Commune, Scène Nationale du bassin minier du Pas-de-Calais ; Le Moulin Fondu – CNAREP ; Les Quinconces-L’Espal - Scène Nationale du Mans ; Les Scènes du Jura - Scène Nationale ; Les Zaccros d’ma rue – Nevers.

Avez-vous déjà bayé aux corneilles ? C’est souvent dans ces moments de latence que peut germer la bonne idée. La Cie Monsieur K déniche toutes les possibilités de ce « rien » fécond... Décidément, l’ennui porte conseil ! Mais l’ennui existe-t-il vraiment ? N’est-ce pas plutôt l’arrivée d’un temps enfin disponible, ouvert, à soi, qui nous extrait heureusement de la frénésie contemporaine ? Dans son théâtre dansé à la poésie teintée d’humour, Monsieur K explore cette liberté de l’enfance.
Ne rien faire, mais le mieux possible, avec tous les sens en éveil et le désoeuvrement devient grandiose et burlesque !
Idée originale : Romuald Leclerc. Mise en scène : Patrice Thibaud. Conception et interprétation : Laura Boudou et Romuald Leclerc. Cré ation sonore : Bertrand Blessing. Costumes : Anne-Laure Futin. Création lumiè re et ré gie générale : Sé bastien Merlin. Production et diffusion : Natacha Frottier. Production : Compagnie Monsieur K. Coproductions : Esplanade du Lac Scè ne Ré gionale Divonne-les-Bains, OCA Bonneville, Cultur(r)al Sallanches, Le Quai des Arts Rumilly, Le Pô le Alby. Rien ? bénéficie de la coproduction Groupe des 20 - scènes publiques Ré gion Auvergne-Rhô ne-Alpes. Partenaires de production : Bonlieu Scène Nationale Annecy, Théâéâtre des Collines Scène Régionale Annecy, Ville de La Tour du Pin, Le PlatO Romans-sur-Isè re, Arts Fabrik. Le département de Haute Savoie a soutenu la création de cette œuvre. Ce projet est soutenu par la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes dans le cadre des appels à projet de création et de La Région Auvergne-Rhône-Alpes dans le cadre d’une aide à la création.

Nous croyons que dans la simplicité il y a l’essence et la possibilité de ressentir plus largement tout ce qui n’est pas vu. Un spectacle qui, avec son apparente simplicité, nous rapproche de la complexité de l’acceptation de soi. Le thème est votre présence, notre présence. Le sujet est le corps. Le voyage de trois corps (la femme, l’homme et le vélo) et leur dépouillement pour arriver à l’essentiel : le corps lui-même.
Ce corps dans lequel on vit et avec lequel nous entretenons une relation. Cette relation est-elle confortable pour vous ? La changeriez-vous ?
Distribution : une idée de la Cie Alta Gama. Auteurs et artistes interprètes : Amanda Delgado et Alejo Gamboa. Mise en scène : Alejo Gamboa. Musique : Pere Vilaplana et Amanda Delgado. Regard technique : Frédéric Perrin. Costumière : Pilar Aguilar. Traduction française : Sophie Tuchscherer. Vidéo : Julià Rocha Pujol et Loïc Nys. Soutiens : Malraux, Scène nationale de Chambéry et de la Savoie (73) - Formalisation de projet - Esacto’Lido - École supérieure des arts du cirque Toulouse-Occitanie (31) - Département de la Savoie (73) - Festival Trapezi, Reus (ES) - Oficina de Suport a la Iniciativa Cultural, OSIC (ES) - Festival Mirabilia, International Circus & Performing Arts Festival - Fossano(IT) - La Central del Circ, Barcelona (ES) - Ondadurto Teatro, Roma (IT)

Vole comme le papillon et pique comme l’abeille. Ses poings ne peuvent pas toucher ce que ses yeux ne voient pas. - Mohammed Ali
Dans League & Legend, les acrobates de la Cie 15Feet6 descendent sur le terrain. Armés de perches de saut et de rubans adhésifs, ils pulvérisent un par un chaque record sur le chemin de la victoire. Peu importe de quel sport il s’agit, seul le spectacle compte. Tous dans les starting-blocks, 15Feet6 va mouiller le maillot !
Artistes : Niko Miettinen (FI), Johannes Holm Veje (DK), Aleksi Matilainen (FI), Arne Sabbe (BE). Mise en scène : Jasper D’Hondt (BE). Production : Tropic Sound Circus vzw & Le Patineur. Coproduction : MiramirO. Résidences : MiramirO, Circuscentrum, Circusplaneet, Theater op de Markt, Cirk! Aalst.

Fondée en 2016, la fanfare Olaïtan signifie par son nom « la source qui ne tarit jamais ». Elle est composée de 7 musiciens unis pour créer une musique multiculturelle accessible à toutes et à tous en se fondant sur la culture traditionnelle du Bénin.
Les cuivres et les percussions se mêlent pour ne faire plus qu’un unisson, à ressentir en dansant et en chantant. Cette formation a su allier ingénieusement cet héritage de la musique traditionnelle à vocation festive et la musique contemporaine avec un style très jazzy dans l’arrangement. On n’écoute pas la fanfare Olaïtan, on la suit, on la vie et on la partage.

A la Fêtobourg, on aime aussi faire chauffer le dancefloor ! Deux DJs se relaieront vendredi et samedi soir pour enjailler votre soirée et vous faire bouger jusqu’au bout de la nuit !

Groshey, jeune artiste autodidacte originaire de Riorges, pose ses bombes de peinture et ses pinceaux à la Fêtobourg !
Retrouvez ses créations à l’Espace de la Tour et réveillez l’artiste qui sommeille en vous autour d’une grande fresque participative. Au fait, vous n’auriez pas croisé le King dans le parc ?
EXPOSITION
Je m’appelle Groshey et depuis près d’un an, je développe un univers graphique unique à travers le « doodle art ». Mes oeuvres, d’inspiration régressive et peuplées de petits monstres, valorisent la créativité et la spontanéité de
l’enfance : je commence souvent une toile sans savoir où elle va me mener. Ce lâcher‑prise confère à chaque création une énergie singulière. J’utilise beaucoup de matériaux de récupération auxquels j’offre une seconde vie. Mon style navigue entre le street art et le pop art, dans une démarche libre et accessible. Je partage mon évolution au quotidien sur TikTok et Instagram, et je laisse parfois quelques oeuvres dans les rues de Roanne.
Du samedi 30 août au dimanche 14 septembre, de 14h à 18h (fermé les lundis)
Espace de la Tour, Parc de la Mairie
FRESQUE PARTICIPATIVE
A vos pinceaux ! Retrouvez Groshey sur le Festival et participez avec lui à la réalisation d’une grande fresque.
Samedi de 15h30 à 18h30 et dimanche de 15h à 18h
A LA POURSUITE DU KING
Je suis le King, tout droit sorti de l’imagination de Groshey. Ce weekend, je me suis caché un peu partout dans le parc afin de profiter du festival !
Samedi et dimanche.
Retrouve les 10 « Kings », numérotés de 1 à 10 et cachés uniquement dans le parc. Prends-les en photo. Quand tu les auras tous trouvés, rends-toi au point accueil pour recevoir ta récompense.